Si le droit à l’erreur est désormais entré dans le langage courant en matière d’obligations sociales et fiscales (déclaration d’impôts, par exemple), il est longtemps resté aux portes du monde du travail. La crise sanitaire, parfois combinée au changement d’élu au sein des collectivités, a pourtant poussé les managers à une plus grande tolérance vis-à-vis de l’erreur, dans un contexte très incertain et mouvant. Cette attitude adaptative a participé au maintien du service public pendant la crise sanitaire. Pourtant, ce droit à l’erreur n’est pas encore pleinement intégré aux bonnes pratiques managériales courantes.
Pourquoi le mettre en place et comment s’y prendre, telles sont les principales questions auxquelles nous proposons d’apporter des réponses.